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Notre monde n’est qu’une simulation ! Ce physicien dévoile enfin la preuve

Le physicien Melvin Vopson en est sûr : nous vivons dans une simulation informatique. Notre univers tout entier est généré par ordinateur. Il révèle comment il l'a découvert, les indices sur lesquels il s'appuie… et comment le prouver grâce à une expérience !

Avez-vous déjà vu le film Matrix ? Dans ce blockbuster sorti au cinéma en 1999, Thomas Anderson fait une découverte qui va changer sa vie : l'univers dans lequel nous vivons est une simulation.

Ce film est divertissant, spectaculaire et captivant… mais vous ignorez peut-être que certains pensent qu'il s'agit d'un message d'avertissement transmis par des extraterrestres ou par une entité supérieure.

Le but ? Prévenir les humains qu'ils vivent effectivement dans une simulation, exactement comme dans le film Matrix.

Longtemps réservée aux complotistes et autres marginaux, cette interprétation n'est finalement peut-être pas si fantaisiste

Vingt-cinq ans après la sortie du film dans les salles obscures, ce n'est cette fois-ci pas un cinéaste, mais bel et bien un scientifique qui affirme que notre réalité n'est qu'un jeu vidéo. Et il en a la preuve.

Un bug dans la matrice enfin détecté ?

Spécialisé dans ce domaine, Melvin Vopson de l'Université de Portsmouth aux États-Unis est formel : une anomalie dans les lois de la physique démontre que nous vivons dans une simulation.

En 2022, il expliquait que « dans la physique, il y a des lois qui gouvernent tout ce qui se passe dans l'univers, la façon dont les objets bougent, dont l'énergie fluctue et bien plus encore ».

Comme il le souligne, « tout est basé sur les lois de la physique, et l'une des plus importantes est la seconde loi de la thermodynamique ».

Celle-ci établit que « l'entropie, une mesure du désordre dans un système isolé, ne peut qu'augmenter ou rester la même, mais ne diminue jamais ».

En se basant sur cette loi célèbre, Vopson s'attendait donc à ce que l'entropie dans les systèmes informatiques, qu'il définit comme le « cinquième état de la matière », augmente également au fil du temps.

C'est sur ce point précis que l'inexplicable s'est produit. Le scientifique s'est aperçu avec stupeur qu'elle n'augmente pas, mais qu'elle reste constante ou même diminue vers une valeur minimum à l'équilibre.

Covid : la découverte qui prouve que Darwin s'était trompé

Il s'agit d'une différence majeure avec la seconde loi de la thermodynamique, qui a poussé Vopson à inventer la Seconde Loi de la Dynamique de l'Information (ou Infodynamics).

Selon ses dires, relayés par The Conversation, « nous savons que l'univers s'étend sans perte ou gain de chaleur, ce qui requiert que l'entropie totale de l'univers soit constante ».

Toutefois, « nous savons aussi grâce à la thermodynamique que l'entropie augmente toujours. Ceci prouve à mes yeux qu'il doit y avoir une autre entropie, l'entropie de l'information, pour contrebalancer cette augmentation ».

Le chercheur est convaincu que cette loi joue un rôle dans la physique atomique et l'arrangement des électrons, dans la cosmologie et dans les systèmes biologiques.

Et c'est sur ce dernier point que Vopson avance une idée audacieuse : alors que Charles Darwin pensait que les mutations survenaient aléatoirement, elles surviendraient en fait pour minimiser l'entropie de l'information.

Il a ainsi analysé le virus SARS-CoV-2, alias COVID-19, connu pour ses mutations constantes. Et son étude publiée en octobre 2023 dans le journal AIP Advances démontre « une corrélation unique entre l'information et la dynamique des mutations génétiques ».

Les mutations génétiques : une économie de RAM pour l'univers

À présent, il est convaincu que cette Seconde Loi de l'Infodynamique peut aussi être utilisée pour prouver que nous vivons dans une simulation.

Selon lui, « un univers très complexe comme le nôtre, si nous vivons dans une simulation, aurait besoin d'optimisation et de compression de données pour réduire la puissance de calcul et l'espace de stockage requis pour faire tourner le programme ».

Et il affirme que « c'est exactement ce que nous observons autour de nous, dans les données numériques, dans les systèmes biologiques, dans les symétries mathématiques et dans l'univers tout entier ».

Par exemple, la symétrie serait abondante dans l'univers, car elle correspondrait à un état d'entropie de l'information bas.

Comment vérifier une fois pour toutes ?

Si l'hypothèse de Vopson sur l'infodynamique est correcte, l'information devrait avoir une masse, lui permettant d'interagir avec tout le reste.

Certains indices suggèrent déjà que c'est le cas. L'écrasement irréversible de l'information semble dissiper la chaleur, selon une étude menée en 2012.

Pour Vopson, ceci indique que cette énergie doit être stockée comme masse avant d'être écrasée. De fait, l'information est un état de matière séparé équivalent à la masse et l'énergie.

Afin de le prouver, une simple expérience serait de mesurer la masse d'un disque dur avant et après l'écrasement des informations. Malheureusement, ceci est actuellement au-delà de nos capacités, car le changement de masse serait réellement infime.

Néanmoins, si la théorie est exacte, Vopson estime que les particules élémentaires transporteraient probablement les informations sur elles-mêmes.

Il propose donc d'envoyer des particules et des antiparticules les unes contre les autres à très grande vitesse. Le but serait d'écraser les informations contenues au sein des particules élémentaires en les annihilant dans un flash d'énergie, émettant des photons.

Loin de faire les choses à moitié, le chercheur a déjà prédit la gamme exacte des fréquences attendues pour ces photons en se basant sur la physique de l'information.

Pour mener cette expérience, il n'a besoin que de 180 000 dollars. Une somme qu'il pourrait lever auprès des milliardaires convaincus par la théorie du simulateur, à commencer par un certain Elon Musk. Il a également ouvert une campagne Indiegogo de financement participatif.

Alors, sommes-nous de simples personnages de jeu vidéo sans même le savoir ? Cette affirmation osée nécessite davantage de tests et de vérifications, mais les recherches pourraient mener à une découverte qui changerait totalement notre vision de la réalité

Comment réagirez-vous si les scientifiques découvrent bel et bien que nous vivons dans une simulation ? Préférez-vous le savoir, ou au contraire rester dans cette illusion ? Partagez votre avis en commentaire !

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