Les gouvernements gèrent des montagnes de paperasse, prennent des décisions importantes et tentent (tant bien que mal) de répondre aux attentes des citoyens. Mais attendez ! Puisque aujourd’hui l’intelligence artificielle s’invite dans de plus en plus de domaines, comment ce serait si elle faisait partie d’un gouvernement ? Pour en avoir le cœur net, j’ai posé la question directement à ChatGPT. Voici ce qu’il m’a répondu.
Gouverner, c’est jongler avec une infinité de données, prévoir l’imprévisible et gérer une administration parfois (très) lente. Dans notre monde de maintenant, où la technologie transforme déjà nos habitudes, pourquoi ne pas l’imaginer au cœur du pouvoir ? Pour explorer cette idée, j’ai donc demandé à ChatGPT ce qu’une intelligence artificielle pourrait apporter à un gouvernement. Entre automatisation des services, analyse rapide et prise de décision optimisée… ses réponses méritent que nous nous y attardons.
Un outil pour rendre l’administration efficace
Dès que j’ai lancé la discussion, ChatGPT a immédiatement soulevé que « l’intelligence artificielle pourrait automatiser les tâches administratives et réduire les délais. »
La bureaucratie ne mettra donc plus des mois à traiter un dossier. Les passeports seront délivrés en quelques minutes, les impôts calculés instantanément, les prestations sociales accordées sans attente… Adieu les formulaires interminables.
Mais ce n’est pas tout ! ChatGPT ajoute que l’intelligence artificielle pourrait aussi améliorer la relation entre l’État et les citoyens. Elle « répondra aux questions administratives 24/7 et simplifier l’accès aux services publics ». Ce chatbot gouvernemental intelligent sera capable de guider tout le monde, peu importe la demande.
Une véritable aide côté prise de décision
Les gouvernements doivent gérer des tonnes de données. Notamment, l’économie, la politique, la santé, l’écologie… Et c’est là que j’étais impressionné par la réponse de ChatGPT. Selon ce dernier, « l’intelligence artificielle pourrait analyser en temps réel des données pour anticiper crises économiques, épidémies et catastrophes naturelles ».
Le système sera ainsi capable de détecter les signes avant-coureurs d’une récession et de proposer des solutions avant que la crise n’explose. Ou pourquoi pas un programme qui surveille la propagation d’un virus et optimise l’envoi de matériel médical avant que les hôpitaux ne soient débordés.
L’intelligence artificielle pourrait également simuler les effets d’une nouvelle loi avant sa mise en place. « Elle pourrait prédire l’impact d’une réforme sur l’emploi, l’environnement ou le budget en quelques secondes » affirme ChatGPT. Je trouve que ce sera un véritable conseiller stratégique, en plus il n’y aura plus de conflits d’intérêts ni de décisions basées sur des émotions.
L’intelligence artificielle au service du gouvernement, c’est une idée à creuser
J’ai aussi demandé à ChatGPT quels seraient les dangers d’une intelligence artificielle au gouvernement. « Cette technologie peut reproduire des biais, poser des problèmes de transparence et soulever des questions éthiques » m’a avertit le chatbot.
Si une intelligence artificielle décide, qui contrôle les algorithmes ? Qui garantit que les décisions restent justes et impartiales ? Sans oublier la vie privée. Jusqu’où cet outil doit-il avoir accès aux données des citoyens ?
Qui plus est, ChatGPT m’a rappelé que les intelligences artificielles ne sont pas infaillibles. « Une mauvaise programmation ou des données biaisées peuvent mener à des décisions injustes ou inefficaces » m’a-t-il dit. Et là je pense qu’un gouvernement dirigé uniquement par une intelligence artificielle, ce n’est donc pas pour demain.
Par contre, une intelligence artificielle en soutien des dirigeants, pour les aider à mieux comprendre et anticiper les enjeux. Là, ça devient intéressant.
Alors, doit-on intégrer une intelligence artificielle dans les rouages du gouvernement ? Oui, je sais, il est difficile de trancher. Mais après cet échange avec ChatGPT, je trouve que l’intelligence artificielle pourrait améliorer la gestion publique, à condition de bien l’encadrer.
Peut-être qu’un jour, un Ministère de l’Intelligence Artificielle verra le jour. En attendant, je continue de poser mes questions à ChatGPT, et d’imaginer le futur avec lui ! Et vous ? Comment trouvez-vous l’idée d’une intelligence artificielle dans un gouvernement ? Partagez vos avis dans les commentaires !
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