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Alerte ! Le Grand Palais, en pleine effervescence olympique, et 40 autres musées sont frappés par des cyberattaques. Suivez de près cette affaire.
En France, une onde de choc informatique secoue le monde de l’art. Des musées de renom, dont le prestigieux Louvre et le Grand Palais, ont subi une cyberattaque. Dans la nuit de samedi à dimanche, des hackers ont frappé fort. Ils ont paralysé une partie des systèmes informatiques, notamment les finances.
Les musées français touchés par la cyberattaque : mais de quoi s’agit-il ?
Les cybercriminels ont utilisé la technique bien rodée du rançongiciel. Ce genre de malware chiffre vos données et demande ensuite une rançon pour les déverrouiller. Dans le cas présent, les pirates informatiques se sont attaqués au système de « centralisation de données financières” des enseignes dans les musées.
Grâce aux rançongiciels, ces hackers implantent un virus qui “bloque l’accès à l’ordinateur ou à ses fichiers afin de réclamer à la victime le paiement d’une rançon pour en obtenir de nouveau l’accès”, d’après les informations fournies par le site du gouvernement.
Les Jeux Olympiques au cœur de l’attention ?
Le Grand Palais, hôte des épreuves des JO de Paris, a donc admis avoir subi une cyberattaque, mais ce célèbre musée a choisi de rester discret sur les détails. Le Louvre, de son côté, reste muet pour le moment. Fort heureusement, l’Agence française de sécurité informatique (ANSSI) a assuré que cette attaque “n’affecte pas des systèmes d’information impliqués dans le déroulement des Jeux olympiques et paralympiques”.
Les cyberattaques contre les musées françaises : Une enquête en cours
La brigade de lutte contre la cybercriminalité de la police judiciaire de Paris s’attaque désormais à ce dossier. La BL2C travaillent d’arrache-pied pour identifier les auteurs de cette attaque et comprendre leur méthode. L’enquête se concentre alors sur deux accusations principales. Il s’agit de l’atteinte à un système de traitement automatisé des données ainsi que l’extorsion en bande organisée.
Bref, cette cyberattaque prouve que les musées, même les plus prestigieux, sont vulnérables face à ce genre de menace. Les hackers profitent de chaque faille dans les systèmes informatiques, aussi petit soit-il, pour s’immiscer et exiger des rançons. Ces institutions culturelles doivent donc redoubler d’efforts pour renforcer leurs dispositifs de sécurité contre ces attaques de plus en plus fréquentes et ingénieuses.
Et vous, qu’est-ce que vous pensez de cette nouvelle ? Les institutions culturelles sont-elles suffisamment préparées face à cette menace ? Partagez votre avis en commentaire !
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